13 janvier 2009

Snif snif

Je ne sais pas si le titre est appropriée en cette période d'activité grippale. C'est snif pour attristé par le départ de Geneviève. Elle a décidé de passer à autre chose. Et c'est tout à fait normal. Je lui souhaite d'être heureuse dans la vie. A vrai dire je ne suis pas du tout inquiet pour elle. J'avais deux femmes dans ma vie de blogueur: Geneviève et Sandra. Il ne m'en reste plus qu'une: la camionneuse continentale. Veut veut pas des liens se tissent entre auteurs et lecteurs de blogues. Geneviève va me manquer c'est certain. Elle était une source d'inspiration par la qualité et la sobriété de son écriture. Elle aimait partager ses réflexions et découvertes d'une manière originale et réfléchie.

Le second snif c'est pour la fermeture annoncée du Cinéma Ex Centris. Il était l'un des deux seuls que je fréquentais avec le Quartier Latin. J'y ai vu La vie des autres, La Corporation, Fahrenheit 9.11, La Chute et quelques autres.

3 commentaires:

camionneuse a dit...

Daniel, ça me touche, mais je suis mal à l'aise d'être sur le piedestal sur lequel tu m'as juché. Enfin, c'est le risque d'être blogueur j'imagine.

J'ai découvert Geneviève grâce à toi, c'est vrai qu'il y avait quelque chose de spécial dans son écriture.

Anonyme a dit...

Merci, Daniel, pour ce bel hommage ! Ça me touche que tu aies pris la peine d'écrire sur le sujet.
En effet, c'est «snif snif» pour moi aussi ... mais ainsi va la vie !
Je continuerai à te lire, c'est certain :)

Daniel a dit...

@ Camionneuse

Mais non je ne te pose pas sur un piédestal. Tu es une personne exceptionnelle, pleine de malice et pétillante de vie. Un vrai rayon de soleil qui se balade sur tout le continent d'un océan à l'autre. Et tu as le plaisir de partager tes péripéties sur le oueb avec un humour et un regard bien personnel.
Toi aussi cela m'a fait quelque chose quand tu es disparue un moment.
Et je crois que Geneviève reviendra aussi quand les choses se seront tassées pour elle.
Du moins je le souhaite sincèrement.
Je vous aime toutes les deux. Telles que vous êtes. On ne se le dit jamais assez!
Et pour faire passer le malaise mord dans la vie à pleine dent